Où ? à Mazères-sur-Salat (31260), sur le site de l’ancienne usine Lacroix. Entrée : Hall Lacroix, face au Café des Sports
Quand ? Samedi 14 mai à 16h Résidence : du 9 au 14 mai 2011
Tarifs ? 5 euros. Adhésion obligatoire à l’association : 2 euros la journée / 10 euros l’année. Réservations au 05 61 90 35 04 ou à autresens chez free.fr
Durée : 40min Public : tout public (jeune et adulte)
Ingrid Obled commence ses études musicales à Amiens en 1981 avec le piano. En 1991, elle entre en classe de contrebasse et à l’orchestre symphonique au CNR d’Amiens. En 2000, elle intègre l’ENM de Cambrai ainsi que le CFMI de Lille (Ecole de musiciens intervenants). Elle y rencontre Isabelle Duthoit, André Serre-Milan, Philippe Mion, Jean Pallandre… Elle s’initie à la musique électroacoustique et à l’improvisation libre. En 2001, elle est diplômée du Prix de contrebasse. En 2002, du DUMI (Diplôme de musiciens intervenants). La même année, elle intègre la classe de composition électroacoustique du CNR de Toulouse. En 2005, elle obtient le Diplôme de Composition Electroacoustique. En 2006, elle est lauréate du Concours International Musicà Viva à Lisbonne, au Portugal et sa pièce « Si je regarde… » est éditée sur le label Miso Record en 2007. En 2008, elle est programmée au 38e festival international des musiques et créations électroniques « Synthèse 2008 » de Bourges et au Centre d’Art de Belem de Lisbonne durant le festival Musica Viva. Elle compose la même année la musique du film documentaire de Margot Donkervoort, « La valse muette ». En 2009, avec son trio de musique de chambre improvisée « rizla meeting », elle joue pour les allumés du jazz au Théâtre du Pavé et au Mandala à Toulouse. A Bordeaux, elle a également présenté son travail de composition électroacoustique à un concert-lecture au Scrime. Avec la poète Sarah Turquety, elle crée le poème électroacoustique Le souffle des pierres dans le cadre du 2e festival de création des Pyrénées en Espagne et Rite pour pieds et chevilles à l’occasion du vernissage de l’exposition du peintre Bruce Clarke à la galerie MC2a à Bordeaux. Elle joue également ses créations dans des lieux plus atypiques, en forêt et en fenêtre. En 2010, elle développe avec Sarah Turquety plusieurs formes d’intervention poético-musicale pour le festival les Ethiopiques à Bayonne, aux Folies Siffait vers Nantes, en milieu scolaire à Tou- louse. Rire dans l’urne, poèmes contrebassés est l’une des facettes de ces explorations. Parallèlement, Le souffle des pierres évolue selon les lieux, les espaces, les langues… notamment aux Etats-Unis.